Un trépied, pour quoi faire ?
On achète un trépied pour la netteté des photos. Et c’est un outil formidable. Encore faut-il savoir lequel acheter et comment en tirer profit. On vous guide !
C’est probablement l’un des premiers accessoires que le photographe s’offre, après le filtre UV. Et pour cause, le trépied permet d’une part de réaliser des plans fixes sans tremblement et, de l’autre, autorise des mouvements panoramiques de manière plus fluide.
Tout comme le microphone du journaliste, le trépied se compose de deux parties: les jambes (aluminium ou fibre de carbone le plus souvent) et la tête. On pourra également ajouter le spreader (littéralement «écarteur»), un accessoire rigide qui joint les jambes à la base pour obtenir davantage de stabilité.
Pourquoi l’utiliser ?
Pour trois raisons principalement. La première est qu’il permet d’obtenir une plus grande netteté, non seulement pour les poses longues, mais également dans des domaines comme le sport, où l’on utilise des focales de 500 ou 600 mm. Le trépied permet également d’obtenir des compositions plus soignées. Le trépied permet de «ralentir»la prise et offre une plus grande marge de précision pour mieux réfléchir à la composition, dans le détail.
Enfin, on peut estimer que le trépied offre une plus grande flexibilité dans une optique de photographie créative. Ainsi, la gestion de la lumière est facilitée par la possibilité d’opter pour une vitesse d’obturation plus longue sans risque de flou, mais également en cas de prise de vue nocturne. Dans le cas du mouvement, l’utilisation d’une pose très longue permet d’obtenir des résultats impressionnants lorsque vous photographiez des manèges, un cours d’eau, une cascade ou encore des vagues dans l’océan.
Vous trouverez une large gamme de trépieds sur notre site web, à parir de 25,00 euros.
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