Fluides photographiques

Lorsque l’on photographie de l’eau en mouvement (y compris en bord de mer / fluides), une difficulté subsiste : choisir la vitesse à adopter pour immortaliser la scène. Si elle est très élevée, l’eau en mouvement sera figée ; il faut généralement assurer le 1/1000e de secondes pour obtenir le résultat escompté.
Si elle s’avère par contre moyenne (comprise entre 1/30e et 1/250e de secondes par exemple), on sera alors confronté à un phénomène simple. Et si la vitesse est trop basse pour figer le mouvement du liquide, certaines parties n’en ressortiront pas nettes et ne seront donc pas esthétiques. Pour remédier à ce problème, il faut faire appel à la technique de la pose lente.
Celle-ci consiste simplement à amplifier le phénomène, en prolongeant au maximum le temps de pose pour « lisser » le mouvement de l’eau (flou poussé à son extrême jusqu’à former une zone uniforme et douce). Évidemment, qui dit pose lente dit stabilité, donc trépied, puisqu’on pourra aller jusqu’à des poses de plusieurs dizaines de secondes.
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